Nota : 1
Dans la série "Les jeux de mots faciles", ci-dessous celui
que m'adresse un ami qui certainement me veut du bien. Nous
lui pardonnons.
Nota : 2
Un de mes supérieurs hiérarchiques lors de ma vie
active professionnelle, pas connu pour sa grande
perspicacité, me disait "Lorsqu'on est seul à avoir
raison c'est vraisemblablement parce qu'on a tort".
Soit.
En même temps Aragon (dans Traité du style-1928) nous
affirme que "Le propre du génie c'est de fournir des
idées aux crétins une vingtaine d'années plus tard".
Peut-être est-il un peu optimiste.
En effet, l'astronome allemand Alfred Wegener, à
partir d'une simple observation, avait formulé en 1912
l'hypothèse de "La dérive des continents". Il avait
très justement remarqué que le profil de la côte est
de l'Amérique du sud s'emboîtait exactement dans celui
de la côte ouest de l'Afrique.
Il a été la risée de la communauté scientifique
internationale. Il est mort en 1930.
Quarante années plus tard, en 1970, "La tectonique
des plaques", parce qu'évidente, était unanimement admise par cette communauté. Elle a dû reconnaître son erreur et a tenté de la
réparer en attribuant le nom de Wegener à une
étoile.
En fait, de 1912 à 1970 cela fait cinquante-huit ans.
Aragon était donc effectivement un optimiste et mon
supérieur hiérarchique vraisemblablement pas très
futé.
Pour la récapitulation, « Une cathédrale se dévoile » ou le fondement
d’une religion mise en pleine lumière, sur
http://rosartundici.blogspot.fr/2016/08/planche-2016-pour-lalliance-francaise.html
Une possible explication à ces décryptages, « Les miradors » dans Chronique
d’une famille lorraine, les Rosart de Lezey en Moselle »
Vendenheim, le 28/04/6019
Maurice Rosart :.
10, rue Brandt
67550 Vendenheim
Courriel : maurice.rosart@free.fr
1 commentaire:
Le 14/05/2017 à 10:52, Pierre Gerhart a écrit :
Je n’aurai pas attendu très longtemps pour te faire part de quelques remarques au sujet de ta dernière parution « Du symbolique à l’imaginaire ». D’un point de vue méthodologique il serait vain de prétendre que ta démarche est scientifique au sens des sciences expérimentales. Elle ne fournit aucune preuve susceptible de valoir comme vérité. D’où certainement le rejet de ta démarche pour des esprits conformistes attachés à cette définition réductrice de la vérité, voire des accusations de charlatanisme dont tu peux faire l’objet…. Ta démarche est tout autre puisqu’elle procède par interprétation (non expérimentation), faisant du sens une autre catégorie de la vérité. Ton premier travail d’historien collecte des faits, phénomènes incontestables (mythes, traces archéologiques, sculptures, peintures, etc) datés et authentifiés que tu considères a priori comme des manifestations d’un sens caché. Jusque là rien ne permet de prétendre qu’il s’agit de preuves. Ton hypothèse de l’existence d’un sens caché se vérifie a posteriori par une reconstruction intelligible (non pas une falsification !) des différents éléments collectés. Cette psychanalyse de notre histoire, de nos origines, de nos religions ou rites…, signifie un gain de sens qui vaut dès lors comme preuve. La cohérence de ton histoire persuasive mais non convaincante (pas de preuve !) a le mérite de nous confronter à une remise en question de la notion de vérité. Et ce serait pure bêtise, aveuglement ou mauvaise foi de rejeter ta démarche !Sapere aude !
Pierre Gerhart
21 mai 2017 à 20:13 Supprimer
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